(…)
Mes mains mes pieds étaient les siens
Et mes désirs et mon poème étaient les siens
(…)
Tu n’avais rien de rien à faire avec la mort
(…)
Mon éphémère écoute je suis là je t’accompagne
(…)
Je ne dors pas je suis tombé j’ai trébuché sur ton absence
Je suis sans feu sans force près de toi
(…)
Je souffre pour toujours de ton silence ô mon amour.
Mes mains mes pieds étaient les siens
Et mes désirs et mon poème étaient les siens
(…)
Tu n’avais rien de rien à faire avec la mort
(…)
Mon éphémère écoute je suis là je t’accompagne
(…)
Je ne dors pas je suis tombé j’ai trébuché sur ton absence
Je suis sans feu sans force près de toi
(…)
Je souffre pour toujours de ton silence ô mon amour.
Derniers poèmes d’amour
Paul Éluard