Evaluer cet article Vingt-huit novembre mil neuf cent quarante-six Nous ne vieillirons pas ensemble. Voici le jour En trop : le temps déborde. Mon amour si léger prend le poids d’un supplice. Derniers poèmes d’amour Paul Éluard Vingt-huit novembre mil neuf cent quarante-six Derniers poèmes d'amour Poésie Paul Eluard A Lire AussiIl la prend dans ses brasEn perdant la beauté, petite ou grandeAujourd’hui, journée sans voiture: neJ’ai souhaité l’empire etOh ! madameDeuxième partie IXLe père et le fils Volume 1 Le Comte de Monte-CristoAffamé ou rassasié, mange des grenades.Toto rentre en pleurant chez lui parce que tous ses Comment les choses sont devenues ce qu’elles sont, c’est cela l’Histoire. C’est PARTAGER