Evaluer cet article Vieille tes yeux sont comme un reflet d’étoile dans une ornière. Extrait de son Journal 1893- 1898. Jules Renard A Lire AussiLa porte de l’univers ne tourne pas toujours sur leJe pense que l’on pourraitUn soupir est un reproche au présent, un sourire auModérément filanteChapitre XXIX: La chasse à l’équipementNous nous fîmes servir du chocolatL’homme n’est point la sommeL’ingéniosité en amour, c’estQuand arrive laLe vent redresse l’arbre PARTAGER