Evaluer cet article Une sorte de bonhomie cordiale, dont elle ne se départait point, décourageait l’ironie. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiLe plus lourd fardeauDe la tour où je survis encoreLe plaisir de corrompre est un de ceuxCelui-là fait le crime à quiPuisse le voyage nous avoirSi je devais choisir entreLes Fourberies de Scapin ACTE III Scène 6Deux puces se retrouvent sur Côtesd’armor, un brave labrador et elles commencentPiq’ tes melons en mars, mé en mai, Et j’en aurai La fois où j’ai brûlé ma guitare PARTAGER