Evaluer cet article Tristan à Boule-de-Suif: Je ne sais pas ce que j’ai. Je ne suis pourtant pas cocardier mais ça me fait plaisir de voir un officier Prussien. Journal 6 mai 1902. Jules Renard A Lire AussiPour la vache, l’herbe est toujoursLe succès est là pour ceux quiL’amour est le voile entre aimé et amant.Il y a des aveux qu’il ne faut pas faire… c’est quand Il ne faut jamais perdre lesLa peur d’être déçu rend méchant.Toute chose appartient à qui sait enLa vie de l’homme sur laSongez qu’on n’arrête jamais de se battreBref, elle avait conservé les PARTAGER