Evaluer cet article Toute cette bonté me tue. Si je m’interdis d’être un peu méchant à quoi suis-je bon ? Journal 19 septembre 1904. Jules Renard A Lire AussiOn dit que le temps change les chosesQuand on désire savoir, onLa vie est un torrentJe crois bien qu’elleChercher à se justifierPapillonQuand tu pisses sur le mur de quelqu’un, la dernière goutte Il n’y a qu’une classe dangereuse, c’est celle des intellectuels, c’est-à-dire des gensUne ambition qui dépasse les pouvoirs.Il se trouve que les oreilles n’ont pas PARTAGER