Evaluer cet article Ta vertu m’est connue. Polyeucte. Pierre Corneille A Lire AussiJe naquis au bord d’une mer…Un monsieur sonne à la porte, la petite Julie,L’eau coule paisible là Un livre meurt quand le lecteur n’a pas à l’inventer à mesure qu’il Les Louanges Du VertLe critique compareLa ProvenceTes fautes anciennes teSans doute tu ne m’aimes pasEtre malade c’est un demi-mal, mourir c’est pire. PARTAGER