Tempêtes et récifs l’ont tant écartelé !
Il voguait, vain jouet du flux et du reflux,
Terrassés par l’iceberg, son âme s’est perdue,
Aucun phare n’éclairait de loin sa destiné.
Neptune, où étais-tu quand, sur la mer glacée,
Il a tangué tout seul pour la dernière fois,
Comme sont naufragés les trois marins de Groix ?
« Mon tradéri tra, tra la la »
« Mon tradéri tra, la lè è ère »