Evaluer cet article Sur mes pareils, Néarque, un bel oeil est bien fort. Polyeucte. Pierre Corneille A Lire AussiPlace au silenceHeure sainte du soirLe flirt est l’aquarelle de l’amourLes idées sont comme lesLe bien et le malFroid de novembre,Matrigna pane mi mostra èLe malade imaginaire ACTE III Scène 5 Les hommes dignes et imposants sont partis et les hommes Quand quelqu’un te dépasse, tu dois porter son PARTAGER