Souvent, je lui disais: A ma
mort, vous me bénirez, rien que
pour le plaisir de voir ses
yeux briller de convoitise.
Le Noeud de vipères 1932
Une citation de François Mauriac
Souvent, je lui disais: A ma
mort, vous me bénirez, rien que
pour le plaisir de voir ses
yeux briller de convoitise.
Le Noeud de vipères 1932
Une citation de François Mauriac