Evaluer cet article Si l'on vous donne un soufflet, rendez-en quatre, n'importe la joue. A Lire AussiLes bravades enfin sont desLa vie s’achève, maisEn vérité, dans un sens, toutC’était une grande coupureL’élixir du révérand père gaucherUn mariage heureux peutSoyez heureux, c’est là le vraiSi j’avais le temps, j’écrirais l’histoire des fleuves que j’aiEn novembre fou engendre, en août gît saUne amitié se mesure surtout à celles qu’elle PARTAGER