Evaluer cet article Si je me laissais dévorer, ton fils, ta fille, ton petit-gendre auraient bientôt fait d’anéantir ma fortune, de l’engouffrer dans leurs affaires. Le Noeud de vipères 1932. Une citation de François Mauriac A Lire AussiOn ne devrait tromper saChaque moment d’attente ôteEt je me dis toujoursUn petit mot sur la contraception oraleUn mari est un emplâtreNeuf fois sur dix, la loiSage veut dire savantIl y a des tendances lesbiennesC’est la nécessité de combattre quiIl me semblait être atteinte d’une PARTAGER Tags: Citation ma fille