Evaluer cet article Si j’ai feint pour toi quelques feux, C’est à quoi plus rien ne m’oblige: Quand on a l’effet de ses voeux, Ce qu’on adorait se néglige. La Suivante. Pierre Corneille A Lire AussiA la Saint Félicien, mouche à miel n’a plusIl faut battre le fer quandEntre les bras de l’élu, la pureC’est chez les étrangers que le piment paraît leUn chiot demande à son père : Papa, quel est mon vrai nom Octobre au coin du feu fait venir leLe vieillissement est essentiellement une opération de mémoirePetit feu chauffe, grand feu brûle.François Tristan L’Hermite, Histoire et biographie de L’HermiteConnais-toi, mais réserve-toi des surprises. PARTAGER