Evaluer cet article Quand on peut voir si nettement les défauts des autres c’est qu’on les a. Journal 26 octobre 1908. Jules Renard A Lire AussiL’amour est un beau trésor,Dans l’herbe trottine un chien,Le pénible fardeauLa seule façon d’accomplirquand le crocodile a les dents du fond qui surnagent, la colombe n’a pas– Chérie tu veut que je parte ? – Non,je n’auserais même pas Papotages d’enfantsUn ennemi invisible est pire qu’un ennemi qu’onLa plus grande récompense qu’un homme obtienne pour son labeur n’est Et tu boiras le vin de la PARTAGER