Quand la mort vient t’enrober
De ses linceuls mensongers
Qu’elle t’invite perfidement à l’espérance
Tu t’accroches à des croyances
De ses linceuls mensongers
Qu’elle t’invite perfidement à l’espérance
Tu t’accroches à des croyances
Imbéciles
Tu déraisonnes
Et je frissonne
J’en ai froid dans le dos
Je t’ai si bien connu
Débordant de convictions
Et je pleure à présent de te voir glisser
En tremblant
Vers l’ultime horizon
© Jacques Herman – 2007