Evaluer cet article Pourtant nous n’avons pas craint d’en parler; mais plus encore de sa prochaine convalescence, alors qu’il semble que son état, déjà si pitoyable, ne puisse qu’empirer bientôt. Journal 1889-1939, 18 août 1930. André Gide A Lire AussiÀ la Sainte-Apolline, l’hiver s’achemine ou touche à saPrêter, c’est La mère de toto le caliceUn lion rencontre une lionne. Elle lui dit:AlexandrinsL’histoire de l’humanité est une statistique de la Quand je vois le Christ en croix, les La vie de famille requiert uneLe propre des grandes stars PARTAGER