Maintenant que tu n’es plus
Parmi nous sur cette terre
Ta place est au cimetière
Où, a l’abri des tumultes du monde
Tu reposes en paix dans ta tombe.
Marie si douce et si gentille
Tu vivais auprès de ta fille
Dans une maison à la campagne
Donc tu en appréciais le charme
Le calme et la sérénité.
Toi qui fus la grand’mère
Que je n’ai jamais eu
Je te dédie ce poème
Car tu l’as si bien remplacée
Et pour te dire que je t’aimais.
Marie tendresse,
Marie sagesse
Marie tout court
Avec un cœur rempli d’amour
Je viens ici te faire un aveu
Si l’on pouvait choisir ses aïeux
Sans l’ombre d’une hésitation
C’est bien toi que j’aurai choisit
Petite Marie……