Evaluer cet article Ou laissez-moi périr, ou laissez-moi régner. Cinna, ou La clémence d’Auguste. Pierre Corneille A Lire AussiMenuetIl avait beau s’ingénier, il ne pouvait faire que Mme Marguet devînt un monstreComment les hommes trient -ils leurs habits ?” SalesL’enfant reconnaît sa mère àIl est des femmes dont on s’étonne vraiment qu’il neMa vocation, c’est ma jambe.Andrée Maillet, histoire et biographie de MailletLes voiles des cœurs sontQue tous les excès de langageDans la vie, tout est signe. PARTAGER