Evaluer cet article Où dois-je recourir, O Ciel, s’il faut toujours aimer, souffrir, mourir ? Suréna. Pierre Corneille A Lire AussiLe difficile n’est pas d’être avec ses amisIl n’y a que les douaniersLa vie s’achève, maisRevenu annuel: vingtOmnibus. Des voyageurs àJe n’ai pas succédé à LouisComment qu’on fait pour reconnaître une blonde dansL’artifice du langage représente à mes yeux un symptôme majeur du mal dontChante crapaud, nous aurons de l’eau.L’ami est un complice qui nous aide à nous emparer du PARTAGER