La mort vous va très bien
Et pourtant je regrette
Le temps où vivants
Tous les deux nous dansions
Libres sur les pistes
Et pourtant je regrette
Le temps où vivants
Tous les deux nous dansions
Libres sur les pistes
D’intenses émotions
Vous flottez à présent
A la surface de l’eau
La face et les mains
Tournées vers le ciel
Où bruissent les étoiles
La mort Ophélie
Convient parfaitement
A la beauté sans voile
De votre corps sans vie
© Jacques Herman – 2007