Evaluer cet article On s’aperçoit qu’on s’aime, le jour où l’on apprend qu’on ne pourra jamais plus s’aimer. Extrait de Signé Furax : le boudin sacré Francis Blanche et Pierre Dac A Lire AussiNon: rien à dire pour saC’est la femme qui fait un foyer.Mieux vaut d’anciennes dettes que de vieilles rancunes. A quoi servent les livresLe silence devient une rareté et une dimension queOn n’est jamais plus heureuxOn tient d’autant plus aux honneurs qu’on enLe Bourgeois gentilhomme ACTE V Scène IIIIl y a des moments où toutLa paix ! Sa recherche et sa PARTAGER