Vingt août deux mille six
Et mes larmes se font encre sur la plume.
Que ces mots écrits le vent t’apporte
Ficelés à une boite de succulents bonheurs.
Vingt août deux mille six
Et mes larmes se font encre sur la plume.
Que ces mots écrits le vent t’apporte
Ficelés à une boite de succulents bonheurs.
Je n’ai jamais pu te dire
Ces mots qu’on susurre à l’oreille
Comme pour l’en tatouer à jamais
Mais qui au fond de mon cœur résonnaient.
J’aurais aimé te dire ces choses
Que sous la caresse je te faisais sentir,
Te dire d’une voix vibrant d’un frémissement
Comme ta peau sous le contact mes mains.
Hélas il n’est plus possible de revenir
Et mon cœur s’ouvre grand pour laisser échapper
Tout cet amour que je n’ai pu te dire
Et mon âme pour qu’elle te rejoigne en ton
Paradis.