Evaluer cet article Leur splendeur venait de ceci que j’ardais sans cesse pour elles. Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide A Lire AussiAmi de la vertuLa meilleur façon de se reposerCelui qui s’applique à la vengeanceQuel plus terrible fléauNous devons aux règlesStéphane Mallarmé, histoire et biographie de MallarméIl faut s’imaginer rêverUne belle-mère vient rendre visite à sa filleJe m’endormis, et à mon réveil trouvais que ma difficultéNe prenez pas la vie au sérieux ; de toute façon, vous PARTAGER