Je vis d’idylle fragile,
les sentiments sont loin de moi,
pléthore de corps à corps.
Je vis pour la musique,
boite féerique si chimérique,
à l’ écouter j’aurai vécu des milliers de vision.
Je t’écris et quémande une faveur,
quand l’heure de mon bonheur sonne,
ne me fait pas l’affront d’y inclure le temps,
et dit à la mort que l’amour ne meurt jamais.
Je t’écris et fait mes pensées,
je voudrai connaître ton secret,
je voudrai être comme toi,
semait cette énergie qui en chacun de nous gît.