Les provinciaux et les sots sont toujours prêts à se fâcher, et à croire qu’on se moque d’eux ou qu’on les méprise: il ne faut jamais hasarder la plaisanterie, même la plus douce et la plus permise, qu’avec des gens polis, ou qui ont de l’esprit.
Les Caractères 1696. Jean de La Bruyère