Cultivons nousLe médecin Tant-pis allait voir un malade
Que visitait aussi son confrère Tant-mieux.
Ce dernier espérait, quoique son camarade
Soutînt que le gisant irait voir ses aïeux.
Tous deux s’étant trouvés différents pour la cure,
Leur malade paya le tribut à Nature,
Après qu’en ses conseils Tant-pis eut été cru.
Ils triomphaient encor sur cette maladie.
L’un disait : «Il est mort ; je l’avais bien prévu.
– S’il m’eût cru, disait l’autre, il serait plein de vie.»
Que visitait aussi son confrère Tant-mieux.
Ce dernier espérait, quoique son camarade
Soutînt que le gisant irait voir ses aïeux.
Tous deux s’étant trouvés différents pour la cure,
Leur malade paya le tribut à Nature,
Après qu’en ses conseils Tant-pis eut été cru.
Ils triomphaient encor sur cette maladie.
L’un disait : «Il est mort ; je l’avais bien prévu.
– S’il m’eût cru, disait l’autre, il serait plein de vie.»
Les Médecins Les fables Livre 5 Fables Jean de la Fontaine
Chacun doit trouver sa solution
Quand on veut on peut- C’est la marque d’un esprit
Si les gens sont si
La beauté de l’homme
Il faut que jeunesse se- La paix avec un gourdin dans la
Petite annonce gratuite :
Bouledogue à vendre. Mange n’importe quoi. 
Si la charité vient à manquer, à quoi sert tout le reste- Voulant une religion, la volupté inventa l’amour.