Evaluer cet article Les descriptions de femme ressemblent à des vitrines de bijoutier. On y voit des cheveux d’or des yeux émeraude des dents perles des lèvres de corail. Qu’est-ce si l’on va plus loin dans l’intimité ! Extrait de son Journal 1887-1892. Jules Renard A Lire AussiDemain, et demain, et demainLa faim est toujours suivie de ses satellites : laLes lois et les censures compromettentGelée hors saison gâte vigne et moisson.Le droit ne commence à dater que du momentLes angoisses métaphysiquesLe malade imaginaire ACTE III Scène 5Les regards des deux mondesIl y a quand même moins deQuelle que soit la longueur de la nuit, le jour PARTAGER