Evaluer cet article Les bourgeons terminaux se développent toujours aux dépens des autres, jusqu’à les atrophier complètement. Journal, 26 mars 1916. André Gide A Lire AussiJ’ai toujours pensé que l’écriture était proche de la musique mais beaucoup moins pureTrop de possession, comme trop de passé, finissent par C’est toujours le coeur qu’il exalte, et la raison qu’il L’envoyé ne répond pas de ceLa violence engendre la violence.Le Lion amoureuxPar le poil on nomme leAuprès de ce qui est sec, ceLa foi est la consolation desRien n’est plus imminent PARTAGER