Evaluer cet article Le vent ce taureau épars. Journal. Jules Renard A Lire AussiQui ne vit que pour soi, meurt dans Depuis qu’on calcule le tempsJ’adore tartiner sur des sujetsLes chevaux sontIl n’y a pour une conscienceIl arrive parfois que ce soit en tirant les conséquences des évidences les plus Chirac, avec tous ses voyages à la con,C’est au clergé qui, soitRosée du matin, tout va bien.L’admiration est un abandon heureux de soi-même, l’envie PARTAGER