C’est en ce firmament que l’on voit peu à peu
Se multiplier les cadavres d’astres.
Au centre du square à l’agonie,
Observons la Mort se recueillir.
Après tant de temps à courber l’échine
Elle s’agenouille devant l’unique source de vie.
Nova cristal déploie son deuil.
Asseyant son autorité sur un linceul.
Au fond du puits s’étouffe un être.
Au fond du puits éclat de lumière.
Gouffre sans fond livre l’infinité
À celui dont la chute ne pu être stoppée.
Par Charly Frestel Heude