Parce qu’il est un monde
Où à chacun
Tout ne sourit
Parce qu’il est un monde
Où à chacun
Tout ne réussit…
Souvent l’orage gronde,
Cruel chemin,
La force ennemie…
Mon âme vagabonde,
Rêvant demain,
Subir ces temps-çi…
Quand la foudre me sonde,
Éclair malsain,
Douleur infinie…
Mon corps surabonde,
Visant plus loin,
Survivre ainsi…
Quand la pluie m’inonde,
Avenir incertain,
Maux enfouis…
Ma tète furibonde
songeant le bien,
Finir démuni…
Quand les vents répondent,
Souffles malsains,
Épreuve chagrin…
Mes yeux se débondent
martyre destin,
Funeste oubli…
…De la Vie…
…je suis…