je repris connaissance
à l'aube du second jour.
Le reveil en incandescence
m'indiquais un mauvais tour.
Des débris de l'édifice
jonchaient le parterre rieur,
en jouant de malefice
l'arche s'était brisée en son coeur.
Jarrachai mes doigts à la poussiére,
elle fuyait en illusion imparfaite.
Dés lors, assourdi de l'enfer,
je permuttai gloire en défaite.
Qui n'a jamais connu les cendres
encore fûmantes de désir ?
Qui n'a jamais vu répendre
son palais de sable ,en un soupir ?
Et voici,en triste farandole
que ce suivent ces sentiments désépérant,
il s'approchent, vautours frivoles,
se repaître de la scéne…amusant !
Lassé de ces guerres
je leur abandonne mon attirail,
je m'aurais battu naguerre,
à présent,soyons l'épouvantail.
Dans son ultime accoutrement
il fixe le ciel,
les bras en croix au firmament
singeant les hommes…artificiel !
A soi ,qui s'entête ment,
en sacrifiantle sens du bonheur
sur l'autel des amants
j'ai gagé mon déshonneur
En soi ,qui s'aime
et laisse la vie germer,
verra s'accomplir " le grand poëme"
de l'amour s' illuminer.