Evaluer cet article L’art et la religion en moi dévotieusement s’épousaient, et je goûtais ma plus parfaite extase au plus fondu de leur accord. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiLes hommes qui parlent le moins sontQuelle différence y a-t-il entre un homme et Le peuple préfère habituellementPluie de septembre, joie du paysan.Ben Laden, l’homme qui a éclipsé JoséUne idéeMa vie est fantasqueOn est assez mièvre pour s’écrier devant les nouveau-nés Et par le pouvoir d’un motJe voudrais vivre pour étudier, non pas étudier pour PARTAGER