Evaluer cet article L’aplomb de ce petit me démontait. Les Faux-Monnayeurs écrit en 1925. André Gide A Lire AussiA l’aube d’un nouvel amourL’histoire ne retiendra de PompidouUne tradition commenceDans chaque Egyptien, il y a le Nil.Dans l’ombre ou la lumière, (la rivière) courtOn domine plus facilement les peuples en excitant leurs passions qu’en s’occupant deLes connaissances qu’on aCelui qui dans sesEn mars, les fous vont nu-pieds.Plût-il à Dieu n’avoir jamais tâté PARTAGER