Evaluer cet article L’aigle se grise de son vol. Le rossignol s’enivre des nuits d’été. Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide A Lire AussiLes parallèles, c’est comme les rails d’un train, elles tournent en mêmeSoleil rouge le matin, –Dans le commun de la vie, cela passeL’hirondelle en septembre abandonne, le ciel refroidi de Ah ! jeunesseLes champs enfarinés de neige éparpilléeNous ne devons jamais ni tropCelui qui doit vivre survitAux franges de l’océanLa tolérance est la vertu PARTAGER