Evaluer cet article La vision que l’on a de soi est toujours approximative : même si l’on a plus ou moins apprivoisé son physique, même si l’on veut bien se reconnaître quelques défauts et quelques qualités. Le Ruisseau des singes (2000) de Jean-Claude Brialy A Lire AussiJ’aurais voulu assister àLa morale est uneTu sais, je ne pars pasLe poète se souvient deQuand l’amour se tait, l’amour est mort.Deux vieilles amies blondes, prennent un verre auTout mot retrouvé est une merveille.Il faut être un homme vivantAprès trois ans,On ne peut pas épouser les PARTAGER