Je suis la assise au bord de la mer à admirer ses vagues qui,
dans un éternel va et vient s’écrasent sur les murs du vieux port
nous remplissant les narines d’une odeur d’écume salée.
Le vent fouette les gens, les taquine en leur décoiffant le crâne.
Ah! Voici un bonnet. Et derrière un petit enfant 3 ans 4 ans,
pleurant en lui courant après… Devant ses parents riant tous attendris.
Et devant moi les vagues continuent à frapper les murs du vieux port
dans l’espoir peut être de le voir vaciller… De voir la mer reprendre ses droits.
Peut être dans un soleil rougissant sur l’horizon ,
voir le vieux port s’écrouler et l’océan triompher.
Alice Alexandre