Evaluer cet article La quantité d’enfants est inimaginable. Je tâche de les dénombrer; à cent quatre-vingts je m’arrête, pris de vertige: ils sont trop ! Voyage au Congo écrit en 1926. André Gide A Lire AussiTrois jours de vendangesTu es mon amour, ma passionLes tragédies de l’Histoire révèlent les grands hommes ; maisLe temps est le péché de l’éternité.Mes films sont une forme de psychanalyseLa vie est une questionA la Saint-Benjamin, le mauvais temps prend fin. Pour juger quelqu’un comme un génie il faut l’être un brinSouvent celui qui travaille mange la paille, Celui quiSi je n’avais pas faim, soif, envie PARTAGER