Evaluer cet article La quantité d’enfants est inimaginable. Je tâche de les dénombrer; à cent quatre-vingts je m’arrête, pris de vertige: ils sont trop ! Voyage au Congo écrit en 1926. André Gide A Lire AussiQuand le chat se débarbouille, bientôt le temps L’oisiveté est un miracle peupléMon plus beau rêveLe Misanthrope ACTE V Scène 4A la saint-André, la perche sous l’olivier.Les esprits forts savent-ilsIl ne faut pas tant se méfier des autres que se défier de Commémoration de mai 68… J’ai déjà duPrincipe d’Archimède : tout corps plongé dans unPlus une femme est jolie, plus elle a du mal à savoir PARTAGER