Evaluer cet article La mort, c'est la fin d'un monologue. Extrait de Le satyre intermittent Tristan Bernard A Lire AussiLa rancune n’est que la preuve de laJusqu’à présent, je n’avais fait de déclaration d’amour qu’àLes révolutions marchentSoyons fermes, purs etUn secret, ce n’est pasLes enfants sont tels qu’onSaint-Roch annonce le temps de l’automne.Quand il pleut à l’Ascension, les blés dépérissent jusqu’àLivre 12Si tu donnes à quelqu’un un PARTAGER