Evaluer cet article La femme, ça a toujours un coin, où en appuyant, ça pleure. – Le chant du monde Jean Giono A Lire AussiL’illusion est trompeuse maisNaître, vivre et mourir dans la même maison. L’Avare ACTE V Scène 2Le voile des vertus, ce n’est pas l’humilité, c’estIl suffit d’un très petit degré d’espéranceCe que les mouches sont pour desBise à la Saint-Michel, octobre sec.Les vagabonds qui, il y a une dizaine d’années, étaient presque tous illettrés,Sois fidèle à taDans nos livres, il y a trop d’appelés et PARTAGER