Evaluer cet article La faille aboutissait à la rivière, qui faisait coude à cet endroit et dont l’eau rapide, en venant buter contre la falaise schisteuse, l’avait profondément creusée. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiLe Tour du monde en quatre-vingts jours Chapitre XIVIl n’y a pas de lumière sans ombrePhilomèle et PrognéLes philosophes croient faireChoix des armesAyrton raconta alors toute sa vie,Qui a bu l’eau du Nil reviendra toujours Dans la banlieue londonienneQuand avril se met en fureur, il est le La musique d’aujourd’hui PARTAGER