Evaluer cet article José Bové peut pas nous mentir sur ce qu’il mange, vu qu’on peut voir les restes dans ses moustaches. Entendu à la radio – 2001. Laurent Ruquier A Lire AussiLe port s’agiteUn trait de crayonPour allumer uneVoix du peuple, voix deDepuis deux mille ans n’aLe bonheur n’a jamais eu laVivons donc heureusement, sansC’est un paysan sur sa charrette, sonUne foule n’est pas une compagnie, les visages ne sont qu’une galerieL’espoir est le privilège des perdants… PARTAGER