Evaluer cet article J’étais extrêmement sensible à l’habit, et souffrais beaucoup d’être toujours hideusement fagoté. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiL’ivrogne et la violonisteIl n’y a pour l’homme que troisA quoi sert de se quereller,Pierre Doris, histoire et biographie de DorisQuand on a “une dent” contre quelqu’un, il est inutile de mâcher ses A la saint-Denis, la bécasse est au pays.La vie est souvent comparéeLe mariage a sa graisse, où l’on s’enlise.Il y a beaucoup d’hommes qui se marient, Le meilleur moyen de n’avoir besoin de personne, c’est de PARTAGER