Evaluer cet article Je veux bien que, l’existence une fois admise, celle de la terre et de l’homme et de moi paraisse naturelle, mais ce qui confond mon intelligence, c’est la stupeur de m’en apercevoir. Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide A Lire AussiL’enthousiasmeLe propre des grandes starsTout ce que les hommes font de bien,Tout comme Hugo, Balzac a trop deChaque animal n’est qu’un paquet deL’équitable, tout en étantMai mois de fleurs, mois deToute sa vie, il a luttéRosée de mai, fait tout beau ou toutTemps qui se fait beau la nuit, dure peu quand le PARTAGER