Evaluer cet article Je souhaite toujours tracer la ligne la plus droite, la plus subite et la moins attendue. Journal, 1er janvier 1910. André Gide A Lire AussiEntre mari et femmeLes baisers sont bonsLes feux de l’amour laissentIl ne faut jamais laisserDans la maison de laL’espoir de survivre encore un peuA mi-février, mi-grenierLa femme nous pardonne rarementUne vue splendide n’a aucun charme si laL’homme dont le destin est PARTAGER