Evaluer cet article Je perdrai qui me perd, ne pouvant me sauver. La mort de Pompée. Pierre Corneille A Lire AussiIl a fait Kafka dans sa culotte…Premiers pasLe Berger et la MerTout à coup le maréchal desTout chef politique doit avoirFace de chair, cœur de tigre.Zut ! : pauvre injure libératrice des culs-bénits et autres indécrottablesChacun pour soi, Dieu pourUne palmeraie, à l’horizon;Etre belle n’est pas mon métier, PARTAGER