Evaluer cet article Je perdrai qui me perd, ne pouvant me sauver. La mort de Pompée. Pierre Corneille A Lire AussiC’est un boudoir meublé dans le goût de l’Empire,Chauve-sourisSavoir que l’on sait ce queLa richesse consiste bienIl est des noeuds secrets,Quand le rossignol aQu’y a t’il de pire qu’uneL’opposé du jeu n’est pasLe contact humain est leA quoi sert l’étendue du monde quand nos souliers PARTAGER