Evaluer cet article Je n’étais que trop enclin à regimber contre les admonitions maternelles. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiLa Chose impossibleLes murs ont des oreillesDouce penséeAimerait-on autruiQuand Simon et JudeNe dis pas ce que tuLa lutte elle-même vers lesTrois filles et leur mère : quatre démonsLe plaisir de trouver vaut mieux que ce que l’onSi on le brave, le destin abandonne la plus haute PARTAGER