Je ne me sens pas mal du tout à l’ombre de ces géants (Berlioz, Littré, Georges Sand, Marcel Aymé). Beaucoup mieux en effet que dans la foule immense où ceux qui ont mérité qu’on les distingue se mêlent à ceux, innombrables, qui ont payé leur place.
Libération du 3 janvier 1998. Bernard Clavel