Evaluer cet article Je ne déteste pas les gaffes. Elles prouvent la droiture de l’esprit. Elles sont les gages comiques de notre bonne foi. Journal 17 novembre 1900. Jules Renard A Lire AussiLes morts m’écoutent seulsBien que déjà, ce soirVoir le dernier Romain à sonGagner sa vie ne vaut pasJe rêve que je n’ai plusIl faut être bien dénué d’esprit,Si tu ne peux pas être une étoile au firmament, soit une lampe chez Quand il pleut en août, il pleut mielA tous les surhommes, il faut préférer ce La vie la plus belle est celle que l’on passe à PARTAGER