Je ne crois pas
Dieux existe-t-il,
L’homme est-il bon,
Est-ce que je t’aime
Tout cela pour dire que je ne crois plus
Pour essayer de te faire comprendre
Que la vie n’est pas un long fleuve tranquille
La seule chose que je crois
C’est que la mort n’est jamais loin
Elle nous surveille
Nous traque, rien de ce qui nous arrive
Ne lui échappe, elle est omnipotente,
Tu crois que tu décides, nullement
Je vais te raconter une petite histoire
Celle du goupil, qui n’a commis comme seule erreur.
De vouloir nourrir sa famille
Il est parti seul en forêt, il ne se rendit compte que trot tard
Que les aboiements qu’ils entendaient n’étaient plus si loin
J’irai plus loin, que ces aboiements étaient pour lui.
Il se mit à courir à travers bois, aussi vite que ces pattes pouvaient bien courir
Mais ce ne fut pas assez,
Lorsqu’il s’aperçu que les chiens étaient plus nombreux et plus rapide
Il n’eut d’autres choix que de s’arrêter,
Le Renard est malin, mais il est aussi fataliste qu’un homme.
Face à ces bourreaux, il essaya de tenir tête à la mort
A sa mort, il n’y eut rien à faire
Le souffle lent de la fin l’envahissait peu à peu
Lorsqu’il s’est éteint il semblait serein.
La mort l’avait embrassé et il y avait vu l’avenir
L’avenir de sa forêt, de sa famille
Etrangement, il n’avait plus peur
Mais il savait que rien n’arrêterait la vie
Tout ça pour te dire qu’il faut croire en nous et en l’avenir
Lui seul sait ce qu’il nous arriveraBen le 12/10/05
Dieux existe-t-il,
L’homme est-il bon,
Est-ce que je t’aime
Tout cela pour dire que je ne crois plus
Pour essayer de te faire comprendre
Que la vie n’est pas un long fleuve tranquille
La seule chose que je crois
C’est que la mort n’est jamais loin
Elle nous surveille
Nous traque, rien de ce qui nous arrive
Ne lui échappe, elle est omnipotente,
Tu crois que tu décides, nullement
Je vais te raconter une petite histoire
Celle du goupil, qui n’a commis comme seule erreur.
De vouloir nourrir sa famille
Il est parti seul en forêt, il ne se rendit compte que trot tard
Que les aboiements qu’ils entendaient n’étaient plus si loin
J’irai plus loin, que ces aboiements étaient pour lui.
Il se mit à courir à travers bois, aussi vite que ces pattes pouvaient bien courir
Mais ce ne fut pas assez,
Lorsqu’il s’aperçu que les chiens étaient plus nombreux et plus rapide
Il n’eut d’autres choix que de s’arrêter,
Le Renard est malin, mais il est aussi fataliste qu’un homme.
Face à ces bourreaux, il essaya de tenir tête à la mort
A sa mort, il n’y eut rien à faire
Le souffle lent de la fin l’envahissait peu à peu
Lorsqu’il s’est éteint il semblait serein.
La mort l’avait embrassé et il y avait vu l’avenir
L’avenir de sa forêt, de sa famille
Etrangement, il n’avait plus peur
Mais il savait que rien n’arrêterait la vie
Tout ça pour te dire qu’il faut croire en nous et en l’avenir
Lui seul sait ce qu’il nous arriveraBen le 12/10/05